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4 septembre 2005

Chapitre 1

L'histoire se passe dans la demeure de Kazuki.Plus précisément, dans sa chambre où ce dernier est en train de dormir. Tout d'un coup, il se réveilla de son doux sommeil, l'air choqué et en pleure.

" Un rêve, ce n'est qu'un rêve " * il garda une certaine peur visible sur son visage d'un naturel calme * .

" ....Et si ça arrivait vraiment ? .....Je ne pourrai plus le revoir.............non, je ne veux pas ......"

* le rêve qu'il venait de faire l'avait profondémment blesser. Dans ce dernier, il voyait Jubei, son grand amour, lui dire adieu en partant avec le danseur des airs, Toshiki Uryu.*

" Bon ressaisit toi, Kazuki, tu vas aller voir ton cher Jubei et tout ira bien, il ne te fuira pas ! " * s'encourageait il devant le miroir où il s'habiller. Une fois apprété, il sortit dehors et se dirigea vers un immeuble prés du Mugenjô, c'était la demeure de Jubei. Il sonna, tout en gardant une légere angoisse sur le coeur. Jubei ouvrit sa porte. Ce dernier n'était revêtu que d'un pantalon en cuir noir et de chaussures marrons laissant à Kazuki une agréable vision sur son torse à la musculature féline. Il ne portait pas ses lunettes, ce qui était rare *

" Kazuki ?" * avec un air surpris et inquiet *

"Qu'y à t'il, Jubei, tu est tout pale, ça va ? " * en posant sa main chaleureuse sur la joue du cracheur d'aiguilles *

" Euh, pourrais tu revenir un peu plus tard, je suis en train de régler un petit problème avec Toshiki et ...... " * en rougissant et en saisisant la main du tisseur*

" Toshiki ? Oh, non, tu peux pas me faire ça, Jubei, moi je..........je....... " * finalement, il partit en larmes et en courant, vers un endroit qu'il ne connaissait pas

" Kazuki, attend ! reviens ! Mais qu'est ce qu'il a ? Raah, zut, Uryu, on y va ! "

" Je te suis, Kakei ! * Uryu rejoins Jubei en lui donnant une veste et ils allèrent à la recherche de Kazuki *

De son côté, Kazuki s'était perdu dans les bas fonds de Shinjuku, cet endroit était surnommé le Mugenjô. Il s'arrêta fatigué de ses pleurs et se rendit vers le chemin le plus proche pour pouvoir retourner chez lui. Quand soudain, une bonne trentaine de junkies l'interpella :

" Tiens, voilà notre lâche de Ito no Kazuki, ce gars est une vrai femmelette, t'as vu ? " * se disaient ils en se moquant de Kazuki. Ce dernier était totalement perdu dans ses pensées et marcha le regard vide vers son chemin, tout en ignorant les junkies.

" Eh, le tisseur j'te parle, tu te prends pour qui pour nous ignorez ? Hein ? Pauv'type, va ! " * Un des voyous l'attrappa par le col véxé par son indifférence *

"Grr, tu m'ennerve, sale travelo ! * en même temps que ses paroles, il allait frapper Kazuki en levant le poing " * Ce dernier ne se défendis pas, il était obsédé par l'attitude géné de son ami *

" ça suffit, pour qui te prends tu pour t'attaquer à notre chef ! " * Rugit Jubei en saisissant le bras du voyou en lui lançant un regard glacial *

" Ne t'en prends pas au tisseur sinon, tu auras à faire à nous " * A ces mots, Uryu commençait à mettre ses menaces à execution. Les junkies s'enfuirent en courant . *

" Jubei ? Pourquoi es tu revenu ? alors que ...... que tu .....tu était avec Toshiki ? * Sur son visage, on pouvait lire la peur et la tristesse *

" Mais enfin, qu'est ce que tu vas t'imaginer, là ? Si Uryu est avec moi, c'était pour régler un problème au Mugenjô ! " * Jubei prit un air plus froid que d'habitude pour expliquer la situation à son ami *

" Ah bon ? Ce n'était pas pour un rendez vous amoureux que vous étiez ensemble ? " * Kazuki leur posa cette question surprenante en essuyant ses larmes. Jubei le regarda d'un air vraiment choqué et Toshiki en tomba à la renverse *

" Kakei et moi ? C'est la meilleure, celle là, tu nous voyais vraiment ensemble ? " * Toshiki portat sa main à son front l'air exaspéré *

" Heu, oui, je pensais à celà............" * Kazuki était un peu géné de sa propre supposition mais retrouva vite son sourire habituel en apprenant qu'il s'était trompé. Jubei souriait à ce dernier et le serra dans ses bras comme pour le consoler. Uryu semblait géné par leur complicité. *

" Uryu, euh......... excuse moi te t'avoir inquiéter, là.......... je .....je n'avait pas réfléchit.... " * Kazuki ne savait pas trop quoi dire devant Toshiki. Il savait bien ce que pensé ce dernier de lui. Uryu lui lança un bref regard en souriant et repartit en direction de sa demeure. Une fois qu'il s'était assez éloigner, des larmes trop longtemps contenues ne tardèrent pas à couler sur son visage. *

" Je ne te le laisserai pas, Kakei. Je le reprendrait tôt ou tard, crois moi ! " * Toshiki ne pouvait s'empécher de ressentir une certaine rivalité envers Jubei. Pourtant, il n'arrivait pas à lui en vouloir, au contraire, même, il éprouvé une attirance soudaine pour ce dernier. Pendant ce temps, Jubei et Kazuki se posaient bien des questions sur le comportement de leur ami. *

" Toshiki, pardonne moi " * Kazuki s'en voulait beaucoup. Mais Jubei le serra à nouveau dans ses bras pour l'appaiser*

" Viens, je te ramène chez toi, Kazuki." * Jubei semblait comprendre mieux que quiconque le danseur du vent. A ce moment, il se souvint de la discussion qu'ils avaient entretenu juste avant l'arrivé de Kazuki. Lors de cette dernière, Uryu lui avait dit clairement ce qu'il ressentait au fond de lui *

" Heu, d'accord, Jubei ......... * Kazuki, lui, ne savait rien de cette discution et l'avait oublié au moment où Jubei l'avait pris dans ses bras. Sur les mots de ce dernier, le tisseur lui pris le bras et tout deux se rendirent à la demeure de Kazuki. Le cracheur d'aiguilles rougit mais apprécié la gaieté de Ito no Kazuki. Un peu plus tard, ils arrivèrent à leur objectif. *

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